27 avril 2004
Sur le vif...
Instant de grâce et de légereté. Quand le corps prend toute sa profondeur et toute son amplitude pour représenter autre chose que du vide. Quand même le mur devient un objet palpable, un objet qui peut se mouvoir et qui n'est là que pour servir toute la beauté du mouvement. Quand je me sens belle et désirable. Quand, plus que jamais, je sens que tout ce mystère qui peut m'entourer est ma force fatale. Ma force de vie, ma force de séduction, ma force d'envie. Et quand ce mystère prend vraiment forme autrement que par l'écrit le temps d'une photo prise sur le vif.
Quand on se sent en vie.
Vraiment, en vie.
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